Ordinary people (2009)
Toute la puissance d’ « Ordinary People » tient dans la répétition de sa violence blanche et contenue. Mais aussi dans le regard final de Dzoni, ébranlé par l’horreur consentie de ce qu’il a fait et vu. TÉLÉCINÉOBS
Ce qui rend Ordinary People si antipathique, c’est qu’il mime la frontalité impassible et la factualité ordinaire pour mieux préparer son coup par derrière. LE CAHIERS DU CINÉMA